Maher Haffani, critique de Nidaa Tounès et pas encore dissident :
Je m'adresse autant à Nidaa Tounès qu'à la "Horra" (TV) et à son greffon politicard vedette. Comment allez-vous présenter chacun de son côté 7500 candidats aux municipales qui sont en fait 20000, car il faut compter avec les observateurs et les bénévoles pour la campagne?
Qui va financer cette campagne ? Ce ne sont pas les législatives où les hommes d'affaires sont concernés par un éventuel retour sur investissement politique et économique. Il s'agit de municipales qui ne les intéressent pas car il n’t a pas de retour sur investissement !
Pourtant, ces élections sont vitales et de loin plus importantes que les législatives surtout que le pouvoir sera en grande partie décentralisé. Même si certains événements étaient inacceptables ces derniers temps, la résistance était de l'intérieur. Faire le maquis de l'intérieur était possible ou alors vous fallait-il les feux des projecteurs ?
On vous a toujours répété que démissionner ne servaient pas le pays et que c'est de l'intérieur de Nidaa qu'il fallait se battre dans l'intérêt du pays. Rappelez-vous de, "la Patrie avant les partis", ou n'était-ce qu'un slogan de plus pour… ? Se retrouver aujourd'hui ne souffre aucun compromis et c'est même un devoir patriotique.
Et dans un précédent post, Maher Haffani écrit :
On reproche aux politiques de ne pas avoir de projet pour le pays et de pratiquer la politique à la tunisienne c’est-à-dire de se ranger constamment du côté du plus fort du moment. Cela a été confirmé hier lors de l'ouverture du congrès d’Ennahda où on a pu voir tous les rcdistes et autres politicards en quête de bénédiction nahdhaouie.
Moi, je pense que le projet de la Tunisie que nous devrions adopter en priorité et même avant la lutte contre le terrorisme et le redressement économique, c'est le retour aux vraies valeurs d'une vie honorable. C'est un projet sociétal primordial qu'un parti politique (les députés de Nidaa ont du avoir le choc de leur vie hier, du moins c'est ce qui se dit) devrait adopter.
Aujourd'hui, les salons de thé et restaurants ne sont pleins que des gueux de la génération post- révolution qui ne contribuent pas aux caisses de l'Etat et claquent un argent fou qu'ils trimbalent dans des couffins (contras), et les cadres de la nation sont sacrifiés en payant pour les autres qui se prétendent victimes de 56 ans d'oppression mais qui, en fait, sont aujourd'hui la vraie plaie de notre pays et qui veulent continuer à vivre dans la malhonnêteté et la gabegie car, ce qu'ils y gagnent, le haut cadre mettrait toute une vie pour en rêver sans l'atteindre. Vive la révolution !!!
Maher Haffani, pédiatre et cadre de feu Nidaa Tounès
Qui va financer cette campagne ? Ce ne sont pas les législatives où les hommes d'affaires sont concernés par un éventuel retour sur investissement politique et économique. Il s'agit de municipales qui ne les intéressent pas car il n’t a pas de retour sur investissement !
Pourtant, ces élections sont vitales et de loin plus importantes que les législatives surtout que le pouvoir sera en grande partie décentralisé. Même si certains événements étaient inacceptables ces derniers temps, la résistance était de l'intérieur. Faire le maquis de l'intérieur était possible ou alors vous fallait-il les feux des projecteurs ?
On vous a toujours répété que démissionner ne servaient pas le pays et que c'est de l'intérieur de Nidaa qu'il fallait se battre dans l'intérêt du pays. Rappelez-vous de, "la Patrie avant les partis", ou n'était-ce qu'un slogan de plus pour… ? Se retrouver aujourd'hui ne souffre aucun compromis et c'est même un devoir patriotique.
Et dans un précédent post, Maher Haffani écrit :
On reproche aux politiques de ne pas avoir de projet pour le pays et de pratiquer la politique à la tunisienne c’est-à-dire de se ranger constamment du côté du plus fort du moment. Cela a été confirmé hier lors de l'ouverture du congrès d’Ennahda où on a pu voir tous les rcdistes et autres politicards en quête de bénédiction nahdhaouie.
Moi, je pense que le projet de la Tunisie que nous devrions adopter en priorité et même avant la lutte contre le terrorisme et le redressement économique, c'est le retour aux vraies valeurs d'une vie honorable. C'est un projet sociétal primordial qu'un parti politique (les députés de Nidaa ont du avoir le choc de leur vie hier, du moins c'est ce qui se dit) devrait adopter.
Aujourd'hui, les salons de thé et restaurants ne sont pleins que des gueux de la génération post- révolution qui ne contribuent pas aux caisses de l'Etat et claquent un argent fou qu'ils trimbalent dans des couffins (contras), et les cadres de la nation sont sacrifiés en payant pour les autres qui se prétendent victimes de 56 ans d'oppression mais qui, en fait, sont aujourd'hui la vraie plaie de notre pays et qui veulent continuer à vivre dans la malhonnêteté et la gabegie car, ce qu'ils y gagnent, le haut cadre mettrait toute une vie pour en rêver sans l'atteindre. Vive la révolution !!!
Maher Haffani, pédiatre et cadre de feu Nidaa Tounès