A gauche, le Président chilien Salvador Allende tué le 11 septembre 1973 à la suite du coup d'Etat américain. A droite, le Premier-Ministre iranien Mohammed Mossadegh, destitué en 1953 à la suite de l'opération anglo-américaine "Ajax".
Les peuples qui demandent le secours des étrangers pour des affaires intérieures n'ont que ce qu'ils méritent : le mépris de prétendus sauveurs. Le peuple tunisien a mis la main dans la main avec les pays étrangers pour aboutir au coup d'Etat du 14 janvier maudit. Je ne parle pas seulement des cyber-collabos (dont l'histoire a désormais retenu les noms), mais du peuple lui-même, et en particulier ces pseudo-intellectuels qui pullulent et qui ont l'expression facile. Facilité inversement proportionnelle à leur pertinence et à leur efficacité.
Le rôle que devait jouer le peuple pour les putschistes qui voulaient vider la Tunisie de ses compétences politiques et à leur tête Ben Ali, était de sortir dans la rue et d'obéir aux appels incessants d’Al Jazeera et de France 24. Après quoi les lobbys putschistes, appuyés par quelques traîtres locaux feraient le nécessaire pour vous en disant que le peuple tunisien a « dégagé » Ben Ali. C'est juste un leurre et une technique parce que les traîtres ne veulent surtout pas assumer leur trahison. Alors ils la jettent sur le dos du peuple en essayant de lui expliquer que les mouvements populaires étaient spontanés. Lisez qui est Edward Bernays et lisez les recueils de Gustave Le Bon pour comprendre comment on peut se jouer de la spontanéité des foules en se jouant de leur inconscient. C'est un savoir faire américain connu de longue date, dont l’iranien Mossadegh (août 1953) et le chilien Salvadore Allende (septembre 1973) restent les victimes les plus emblématiques.
Ben Ali a été embarqué sous vos yeux et vos applaudissements. Comme le fut jadis le Patriote Moncef Bey sur lequel certains gueux ont même craché sur le cortège lorsqu'il fut conduit par les colons vers son exil français. Plus d'un demi-siècle plus tard, Ben Ali revit une expérience similaire. C'est parce que vous êtes un peuple sans aucune dignité et sans aucun sens de la souveraineté. Le pire des gestes contre la souveraineté d'un pays est celui d'embarquer ses dirigeants. Cela se fait toujours avec la complicité des peuplades faibles, traîtres, et sans dignité.
Cela fait cinq années que le FMI vous donne à manger et vous vous croyez dignes? Mais vous êtes la bassesse même, la bassesse incarnée, la bassesse immaculée. Y a-t-il un seul pays au monde qui, malgré le peu de moyens fossiles, et traînant le boulet d'une population de gueux, qu'il a mis de force dans les écoles et instruit, a autant réussi que nous.
Nos moyens sont incomparablement plus faibles, sinon insignifiants devant les moyens d'un pays comme l'Algérie, et pourtant nos frères algériens venaient respirer la joie de vivre et la réussite en Tunisie. Vous avez manqué de « Hamd », de sens de l'histoire, de géostratégie. Il fallait écouter votre serviteur Léon dès le départ. Celui qui, dès les premiers jours qui ont suivi le 14 maudit, vous avait appelé à lire le VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES, et vous avait depuis ces temps là parlé du danger sur la Souveraineté.
Mais les peuples qui ont connu des vagues successives de colonisation ont tendance à répéter l'expérience coloniale sans même s'en rendre compte.
Ben Ali avait laissé un pays que les footeux régionalistes ont transformé en colonie de l'UE, du Qatar, des USA, et surtout de la nébuleuse FMI, Banque mondiale. Le pays des miracles, n'était-il pas en réalité le miracle d'une poignée d'hommes et à leur tête Ben Ali? Celui que les gueux croient avoir "dégagé".
Léon, Min Joundi Tounis AL Awfiya, Résistant souverainiste contre la nébuleuse colonialiste.
Mieux vaut tard que jamais, lisez le VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Le rôle que devait jouer le peuple pour les putschistes qui voulaient vider la Tunisie de ses compétences politiques et à leur tête Ben Ali, était de sortir dans la rue et d'obéir aux appels incessants d’Al Jazeera et de France 24. Après quoi les lobbys putschistes, appuyés par quelques traîtres locaux feraient le nécessaire pour vous en disant que le peuple tunisien a « dégagé » Ben Ali. C'est juste un leurre et une technique parce que les traîtres ne veulent surtout pas assumer leur trahison. Alors ils la jettent sur le dos du peuple en essayant de lui expliquer que les mouvements populaires étaient spontanés. Lisez qui est Edward Bernays et lisez les recueils de Gustave Le Bon pour comprendre comment on peut se jouer de la spontanéité des foules en se jouant de leur inconscient. C'est un savoir faire américain connu de longue date, dont l’iranien Mossadegh (août 1953) et le chilien Salvadore Allende (septembre 1973) restent les victimes les plus emblématiques.
Ben Ali a été embarqué sous vos yeux et vos applaudissements. Comme le fut jadis le Patriote Moncef Bey sur lequel certains gueux ont même craché sur le cortège lorsqu'il fut conduit par les colons vers son exil français. Plus d'un demi-siècle plus tard, Ben Ali revit une expérience similaire. C'est parce que vous êtes un peuple sans aucune dignité et sans aucun sens de la souveraineté. Le pire des gestes contre la souveraineté d'un pays est celui d'embarquer ses dirigeants. Cela se fait toujours avec la complicité des peuplades faibles, traîtres, et sans dignité.
Cela fait cinq années que le FMI vous donne à manger et vous vous croyez dignes? Mais vous êtes la bassesse même, la bassesse incarnée, la bassesse immaculée. Y a-t-il un seul pays au monde qui, malgré le peu de moyens fossiles, et traînant le boulet d'une population de gueux, qu'il a mis de force dans les écoles et instruit, a autant réussi que nous.
Nos moyens sont incomparablement plus faibles, sinon insignifiants devant les moyens d'un pays comme l'Algérie, et pourtant nos frères algériens venaient respirer la joie de vivre et la réussite en Tunisie. Vous avez manqué de « Hamd », de sens de l'histoire, de géostratégie. Il fallait écouter votre serviteur Léon dès le départ. Celui qui, dès les premiers jours qui ont suivi le 14 maudit, vous avait appelé à lire le VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES, et vous avait depuis ces temps là parlé du danger sur la Souveraineté.
Mais les peuples qui ont connu des vagues successives de colonisation ont tendance à répéter l'expérience coloniale sans même s'en rendre compte.
Ben Ali avait laissé un pays que les footeux régionalistes ont transformé en colonie de l'UE, du Qatar, des USA, et surtout de la nébuleuse FMI, Banque mondiale. Le pays des miracles, n'était-il pas en réalité le miracle d'une poignée d'hommes et à leur tête Ben Ali? Celui que les gueux croient avoir "dégagé".
Léon, Min Joundi Tounis AL Awfiya, Résistant souverainiste contre la nébuleuse colonialiste.
Mieux vaut tard que jamais, lisez le VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.