Le président Bachar Al-Assad avec ses vaillants soldats sur le front de Jobar.
C’est à Jobar, une région de la banlieue de Damas sous l’emprise des terroristes islamistes, que le président syrien Bachar Al-Assad a choisi de passer le réveillon en compagnie de ses glorieux soldats. Aucun média occidental n’a jugé utile d’en informer cette opinion publique sous influence et sous la propagande permanente de certains Etats « démocratiques » qui ne désespèrent pas d’anéantir un pays et un peuple au nom d’un « printemps arabe » fallacieux et néocolonialiste dont l’Irak et la Libye n’ont pas fini d’en payer le prix.
Le déplacement du président Bachar Al-Assad dans cette zone dangereuse et en voie de libération est un défi aux barbares et aux mercenaires islamo-atlantistes venus des quatre coins du monde pour semer l’horreur et la désolation, en même temps qu’un bras d’honneur à leurs financiers et alliés Qataris, Turcs, Américains, Israéliens, Britanniques et Français. Une alliance hétéroclite entre l’argent sale de certaines monarchies du Golfe et les valeurs souillées d’un Occident promoteur des « droits de l’homme » et de la « démocratie ». Une alliance dont les effets secondaires commencent à se manifester dans certains pays occidentaux qui se croyaient à l’abri du terrorisme islamiste et de l’idéologie fasciste des Frères musulmans.
Selon l’agence de presse Sana, le président Al-Assad a « visité un certain nombre de postes et d’unités militaires qui affrontent les groupes terroristes, saluant les victoires et les sacrifices consentis par les soldats intrépides pour sauvegarder la sécurité des gens et leurs biens à Damas et dans ses banlieues ». Bachar Al-Assad a dit à dit à ses troupes, que « S’il reste encore des raisons de joie en Syrie, c’est grâce aux victoires que vous réalisez dans votre combat contre le terrorisme. Cette nouvelle année est un espoir pour tout le monde, mais la plus espérance c’est le triomphe de nos forces armées et de tous ceux qui ont combattu à leurs côtés contre les terroristes ».
Ce déplacement du président syrien en zone de combat est aussi le signe d’une victoire prochaine de l’arabisme sur l’islamo-atlantisme, du nationalisme sur l’impérialisme, du modernisme sur l’obscurantisme. L’Egypte s’en est tirée à sa façon, la Tunisie s’en est sortie à sa manière, l’Algérie y résiste depuis longtemps, mais la Libye est perdue pour longtemps, tout comme l’Irak.
Nebil Ben Yahmed
Lien vidéo de Russia Today :
https://www.youtube.com/watch?v=u1pBve35jis#t=16
Le déplacement du président Bachar Al-Assad dans cette zone dangereuse et en voie de libération est un défi aux barbares et aux mercenaires islamo-atlantistes venus des quatre coins du monde pour semer l’horreur et la désolation, en même temps qu’un bras d’honneur à leurs financiers et alliés Qataris, Turcs, Américains, Israéliens, Britanniques et Français. Une alliance hétéroclite entre l’argent sale de certaines monarchies du Golfe et les valeurs souillées d’un Occident promoteur des « droits de l’homme » et de la « démocratie ». Une alliance dont les effets secondaires commencent à se manifester dans certains pays occidentaux qui se croyaient à l’abri du terrorisme islamiste et de l’idéologie fasciste des Frères musulmans.
Selon l’agence de presse Sana, le président Al-Assad a « visité un certain nombre de postes et d’unités militaires qui affrontent les groupes terroristes, saluant les victoires et les sacrifices consentis par les soldats intrépides pour sauvegarder la sécurité des gens et leurs biens à Damas et dans ses banlieues ». Bachar Al-Assad a dit à dit à ses troupes, que « S’il reste encore des raisons de joie en Syrie, c’est grâce aux victoires que vous réalisez dans votre combat contre le terrorisme. Cette nouvelle année est un espoir pour tout le monde, mais la plus espérance c’est le triomphe de nos forces armées et de tous ceux qui ont combattu à leurs côtés contre les terroristes ».
Ce déplacement du président syrien en zone de combat est aussi le signe d’une victoire prochaine de l’arabisme sur l’islamo-atlantisme, du nationalisme sur l’impérialisme, du modernisme sur l’obscurantisme. L’Egypte s’en est tirée à sa façon, la Tunisie s’en est sortie à sa manière, l’Algérie y résiste depuis longtemps, mais la Libye est perdue pour longtemps, tout comme l’Irak.
Nebil Ben Yahmed
Lien vidéo de Russia Today :
https://www.youtube.com/watch?v=u1pBve35jis#t=16