On se souvient tous de la fameuse poignée fermée que tous les internautes tunisiens ont affiché sur leur profil Facebook dès la fin décembre 2010. Ces idiots utiles de la « révolution 2.0 » ne savaient pas à l’époque que cette poignée est le sigle de la secte OTPOR, une organisation subversive crée par la CIA pour déstabiliser tous les régimes mis à l’index par Washington et qui se pare de toutes les belles vertus : droits de l’homme, liberté, démocratie, droit à l’expression…
Crée en 1998 grâce à l’appui financier de la « National Endowment for Democracy » (NED) et l’« International Republican Institute » (IRI), deux vitrines de la CIA, le mouvement OTPOR est devenu, après avoir fait tomber le régime de Milosévic, l’organisation CANVAS. Elle est dirigée par Srdja Popovic, un mercenaire serbe qui a été recruté par la CIA dès 1997. Il faut savoir que le président du conseil d’administration de l’IRI a été John McCain, l’un des mentors des Frères musulmans et principal théoricien néoconservateurs de l’invasion de l’Irak en 2003 avec son livre « Rogue State Rolback », et que la NED a été crée par Ronald Reagan en 1983. Selon William Blum, un ancien fonctionnaire du Département d’Etat américain, «On a donné à la NED un fort joli nom mais qui agit souvent dans le sens opposé à sa vocation proclamée. La NED intervient dans les affaires intérieures de pays étrangers de plusieurs façons. Elle fournit fonds, savoir-faire technologique, entrainement, matériel didactique, ordinateurs…, à des organisations de citoyens, à des syndicats, à des mouvements de dissidents politiques ou d’étudiants… » ( dans son livre Rogue State : A guide to the World’s Only Superpower).
CANVAS se présente comme une organisation spécialisée dans la formation à la subversion dite Non-violente, en se référant à la doctrine du penseur américain et sioniste Gene Sharp. Puissamment soutenue aussi par « Open Society Institute » de Georges Soros et par « Freedom House » dont le directeur a été l’ancien patron de la CIA James Woolsey, CANVAS a été à l’origine des « révolutions » en Géorgie, Ukraine, Biélorussie, Kirghizistan, Maldives. Elle a essayé de déstabiliser Cuba, Venezuela et l’Iran en 2009. Sans succès, car les peuples de ces pays, à l’inverse des Arabo-musulmans, sont politisés, cultivés et nationalistes. L’entreprise CANVAS a réussi son coup en Tunisie, en Egypte et au Yémen. Quant aux cas Libyens et syriens, ils relèvent tout simplement des croisades néocolonialistes.
Parmi les cyber-collabos tunisien qui, depuis 2007, ont bénéficié de bourses, de matériels et de stages de formation à la « révolution 2.0 », figurent Slim Amamou, Lina Ben Mhenni, Emna Ben Jemaa et Heytham Mekki. Avec une dizaine d’autres jeunes qui n’ont aucune culture politique et aucun sens patriotique, ces quatre cyber-collabos ont été recruté par Sami Ben Gharbia, l’ami et le complice de Srdja Popovic. C’est ce noyau dur de la cyber-collaboration tunisienne qui a mis le feu à la Tunisie, à la Libye, à l’Egypte, au Yémen et à la Syrie. De façon discrète et toujours en étroite collaboration avec CANVAS, leur secte d’origine, ils continuent leurs menées subversives et se préparent depuis des mois à déstabiliser l’Algérie. Comme le prouve cette vidéo, la crapule de la CIA, Srdja Popovic tient absolument à faire tomber l’Algérie dans le giron islamiste, conformément aux objectifs stratégiques du « printemps arabe ».
Tunisie-Secret lance ce soir un appel à tous les internautes et cybers-activiste tunisiens, et de façon générale Arabes, à se constituer en armée virtuelle pour défendre l’Algérie et dénoncer les cybers-collabos qui ont déjà fait des dégâts irréparables en Tunisie et ailleurs dans le monde arabe. Ayant déjà fait une grande et véritable révolution en 1962, ayant souffert de la guerre civile que les islamo-fascistes lui ont livré durant une décennie, l’Algérie saura montrer au monde que la démocratie peut s’établir sans perde son indépendance et sans vendre son âme à l’ignoble wahhabisme qatari.Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli
Voir sur le même sujet l'article de Tunisie Numérique, "Le printemps arabe frappe à la porte de l'Algérie", le 27 avril 2013
Crée en 1998 grâce à l’appui financier de la « National Endowment for Democracy » (NED) et l’« International Republican Institute » (IRI), deux vitrines de la CIA, le mouvement OTPOR est devenu, après avoir fait tomber le régime de Milosévic, l’organisation CANVAS. Elle est dirigée par Srdja Popovic, un mercenaire serbe qui a été recruté par la CIA dès 1997. Il faut savoir que le président du conseil d’administration de l’IRI a été John McCain, l’un des mentors des Frères musulmans et principal théoricien néoconservateurs de l’invasion de l’Irak en 2003 avec son livre « Rogue State Rolback », et que la NED a été crée par Ronald Reagan en 1983. Selon William Blum, un ancien fonctionnaire du Département d’Etat américain, «On a donné à la NED un fort joli nom mais qui agit souvent dans le sens opposé à sa vocation proclamée. La NED intervient dans les affaires intérieures de pays étrangers de plusieurs façons. Elle fournit fonds, savoir-faire technologique, entrainement, matériel didactique, ordinateurs…, à des organisations de citoyens, à des syndicats, à des mouvements de dissidents politiques ou d’étudiants… » ( dans son livre Rogue State : A guide to the World’s Only Superpower).
CANVAS se présente comme une organisation spécialisée dans la formation à la subversion dite Non-violente, en se référant à la doctrine du penseur américain et sioniste Gene Sharp. Puissamment soutenue aussi par « Open Society Institute » de Georges Soros et par « Freedom House » dont le directeur a été l’ancien patron de la CIA James Woolsey, CANVAS a été à l’origine des « révolutions » en Géorgie, Ukraine, Biélorussie, Kirghizistan, Maldives. Elle a essayé de déstabiliser Cuba, Venezuela et l’Iran en 2009. Sans succès, car les peuples de ces pays, à l’inverse des Arabo-musulmans, sont politisés, cultivés et nationalistes. L’entreprise CANVAS a réussi son coup en Tunisie, en Egypte et au Yémen. Quant aux cas Libyens et syriens, ils relèvent tout simplement des croisades néocolonialistes.
Parmi les cyber-collabos tunisien qui, depuis 2007, ont bénéficié de bourses, de matériels et de stages de formation à la « révolution 2.0 », figurent Slim Amamou, Lina Ben Mhenni, Emna Ben Jemaa et Heytham Mekki. Avec une dizaine d’autres jeunes qui n’ont aucune culture politique et aucun sens patriotique, ces quatre cyber-collabos ont été recruté par Sami Ben Gharbia, l’ami et le complice de Srdja Popovic. C’est ce noyau dur de la cyber-collaboration tunisienne qui a mis le feu à la Tunisie, à la Libye, à l’Egypte, au Yémen et à la Syrie. De façon discrète et toujours en étroite collaboration avec CANVAS, leur secte d’origine, ils continuent leurs menées subversives et se préparent depuis des mois à déstabiliser l’Algérie. Comme le prouve cette vidéo, la crapule de la CIA, Srdja Popovic tient absolument à faire tomber l’Algérie dans le giron islamiste, conformément aux objectifs stratégiques du « printemps arabe ».
Tunisie-Secret lance ce soir un appel à tous les internautes et cybers-activiste tunisiens, et de façon générale Arabes, à se constituer en armée virtuelle pour défendre l’Algérie et dénoncer les cybers-collabos qui ont déjà fait des dégâts irréparables en Tunisie et ailleurs dans le monde arabe. Ayant déjà fait une grande et véritable révolution en 1962, ayant souffert de la guerre civile que les islamo-fascistes lui ont livré durant une décennie, l’Algérie saura montrer au monde que la démocratie peut s’établir sans perde son indépendance et sans vendre son âme à l’ignoble wahhabisme qatari.Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli
Voir sur le même sujet l'article de Tunisie Numérique, "Le printemps arabe frappe à la porte de l'Algérie", le 27 avril 2013