Dès la réussite de la conspiration contre la Tunisie en Janvier 2011, Sihem Ben Sedrine n’a pas perdu son temps pour satisfaire la haine et la vengeance qu’elle cultive depuis des années. Profitant de l’hystérie collective et pseudo-révolutionnaire d’alors, abusant de l’ignorance d’internautes et de cybers-collabos qui ne connaissaient pas son passé de mercenaire des Etats-Unis et du Qatar en Irak, en Algérie et, bien évidemment, en Tunisie, elle a désigné au lynchage médiatique les institutions et les personnalités dont elle craint la mémoire et les dossiers qu’elles détiennent sur ses méfaits contre la Tunisie et un certain nombre de pays arabes.
C’est donc tout naturellement qu’elle a investi le ministère de l’Intérieur, qui venait alors d'être confié à l’un de ses ex amis intimes, Farhat Rajhi, un magistrat sorti du chapeau de Kamel Eltaïef avant leur dispute et le déballage publique qui s'en était suivi. Trois priorités vont alors guider la mission de sape de Sihem Ben Sedrine. Premièrement, la purge au sein de ce Ministère de tous les cadres compétents et patriotes, pour anéantir totalement cette institution qui assure la sécurité des Tunisiens et le maintien de l’ordre. Deuxièmement, la libération des criminels et des terroristes les plus dangereux, y compris le sinistre Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, les auteurs de l’attentat contre la synagogue de la Ghriba en avril 2002, qui étaient des mercenaires d’Al-Qaïda, et les djihadistes du GSPC qui ont pris les armes contre les forces de police et l’armée, à Soliman, en 2006, dont Sabeur Ragoubi ; ceux-là même qui ont tués, à peine trois mois après leur libération en 2011, le colonel Tahar Ayari et deux jeunes soldats. Troisièmement, faire disparaitre des archives de l’Intérieur les documents qui l’impliquent personnellement dans des affaires de malversation, de collaboration avec des services étrangers, de détournement d’argent perçus par des ONG occidentales…
Avec une quarantaine de cadres du ministère de l’Intérieur, le colonel Lotfi Guelmami est l’une de ses victimes. Il porte plainte pour avoir été mis à la retraite anticipée par l’ancien ministre de l’Intérieur Farhat Rajhi. Selon nos confrères de Webdo en date du 20 mai dernier, il a pris sa décision après avoir appris la nomination de Sihem Ben Sedrine au sein de l’instance « Vérité et Dignité », malgré l’opposition de plusieurs militants des droits de l’homme et de personnalités de la société civile, qui ont fini par découvrir ses faits et méfaits. Mais notre épicière des droits de l’homme bénéficie du soutien et de la haute protection de Rached Ghannouchi et de Moncef Marzouki, son complice de toujours.
Lotfi Guelmami a déclaré avoir été « surpris d’apprendre que Sihem Ben Sedrine a été désignée pour faire partie de cette instance sachant qu’elle a démolit de nombreuses familles avec l’aide de l’ancien ministre de l’Intérieur Farhat Rajhi», qui n’a toujours pas recouvré ses droits, alors même que le Tribunal administratif lui a donné raison, voilà déjà une année. Pour lui, au sein de l’instance « Vérité et Dignité », cette personne n’a pas sa place car elle est « juge et partie ».
Il n’est pas le seul à le penser. Dans un article du 5 mai dernier, Nizar Bahloul a estimé que la candidature de Sihem Ben Sedrine « viole l’article 21 de cette même loi. Selon le volet III de cet article, les conditions requises pour la candidature sont : la compétence, l'indépendance, la neutralité et l'impartialité. Selon le volet V de ce même article, l’autre condition requise est l’absence d’antécédent de faillite frauduleuse ».
Pour le directeur de Business News, « La compétence de Mme Ben Sedrine est sujette à caution. Elle n’est pas indépendante, puisqu’elle a été une véritable rentière, durant des années, de différentes organisations internationales. Elle n’est pas neutre et n’est pas impartiale et elle l’a prouvé à plusieurs reprises à travers ses différentes sorties avec les LPR ou encore son association avec un des hommes d’affaires qui ont fait leur beurre sous l’ancien et le nouveau régime. Quant à la question de la faillite frauduleuse, il est bon de rappeler que son entreprise « Kalima SARL » est en forte difficulté, qu’elle a cessé de fonctionner concrètement et qu’une partie de son personnel est actuellement aux prud’hommes après l’avoir accusée de différentes charges qui pourraient porter atteinte à l’honneur ».
Déjà en février 2014, Nizar Bahloul a eu le courage de dénoncer la candidature de Sihem Ben Sedrine, dans un article intitulé « Sihem Ben Sedrine, la mercenaire qui veut être juge » (voir lien ci-dessous), où il s’est adressé à Sihem Ben Sedrine dans les termes suivants : « Madame, votre candidature dérange. Oui, elle dérange, elle agace, elle horripile, elle irrite. Votre candidature nous indigne madame ! Mais les raisons sont différentes de celles que vous avancez. Vous nous avez fait croire pendant des années que vous étiez une militante des Droits de l’Homme et une victime de Ben Ali. Et vous avez trompé tout le monde un temps. Vous vous targuez d’être une militante des Droits de l’Homme, mais ce militantisme cesse de l’être dès lors qu’il ne rapporte pas grand chose. On ne vous a pas entendue défendre Jabeur Mejri, on ne vous pas entendue défendre Maher Manaï, on ne vous a pas entendue défendre les centaines de journalistes agressés sous la Troïka. On ne vous a pas entendue vous élever contre les attaques régulières des mercenaires de Moncef Marzouki et d’Ennahdha. On ne vous a pas entendue défendre les journalistes condamnés injustement… »
Outre les subventions perçues d’ONG occidentales, de l’Union européenne et de charitables bienfaiteurs qataris, qui lui ont permis d’acquérir un « pied à terre » à Viennes et un un appartement à Madrid, cette « militante » qui a le don de conjuguer droits de l’homme et droit des affaires, est devenue richissime en Tunisie grâce au parti islamo-mafieux d’Ennahda et à deux affairistes véreux, qui ont fait fortune à l’époque de Ben Ali : Kamel Eltaïef et Nasr Ali Chakroun, l’un des principaux financiers de la campagne électorale de Moncef Marzouki. La place de Sihem Ben Sedrine n'est pas au sein de l'instance "Vérité et Dignité", mais en prison, pour Haute trahison, atteinte à la sécurité de l'Etat, collaboration avec des puissances étrangères, corruption et détournement de fonds.
Nebil Ben Yahmed
A lire aussi dans Business News :
http://www.businessnews.com.tn/sihem-ben-sedrine-la-mercenaire-qui-veut-etre-juge,523,44475,3
C’est donc tout naturellement qu’elle a investi le ministère de l’Intérieur, qui venait alors d'être confié à l’un de ses ex amis intimes, Farhat Rajhi, un magistrat sorti du chapeau de Kamel Eltaïef avant leur dispute et le déballage publique qui s'en était suivi. Trois priorités vont alors guider la mission de sape de Sihem Ben Sedrine. Premièrement, la purge au sein de ce Ministère de tous les cadres compétents et patriotes, pour anéantir totalement cette institution qui assure la sécurité des Tunisiens et le maintien de l’ordre. Deuxièmement, la libération des criminels et des terroristes les plus dangereux, y compris le sinistre Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, les auteurs de l’attentat contre la synagogue de la Ghriba en avril 2002, qui étaient des mercenaires d’Al-Qaïda, et les djihadistes du GSPC qui ont pris les armes contre les forces de police et l’armée, à Soliman, en 2006, dont Sabeur Ragoubi ; ceux-là même qui ont tués, à peine trois mois après leur libération en 2011, le colonel Tahar Ayari et deux jeunes soldats. Troisièmement, faire disparaitre des archives de l’Intérieur les documents qui l’impliquent personnellement dans des affaires de malversation, de collaboration avec des services étrangers, de détournement d’argent perçus par des ONG occidentales…
Avec une quarantaine de cadres du ministère de l’Intérieur, le colonel Lotfi Guelmami est l’une de ses victimes. Il porte plainte pour avoir été mis à la retraite anticipée par l’ancien ministre de l’Intérieur Farhat Rajhi. Selon nos confrères de Webdo en date du 20 mai dernier, il a pris sa décision après avoir appris la nomination de Sihem Ben Sedrine au sein de l’instance « Vérité et Dignité », malgré l’opposition de plusieurs militants des droits de l’homme et de personnalités de la société civile, qui ont fini par découvrir ses faits et méfaits. Mais notre épicière des droits de l’homme bénéficie du soutien et de la haute protection de Rached Ghannouchi et de Moncef Marzouki, son complice de toujours.
Lotfi Guelmami a déclaré avoir été « surpris d’apprendre que Sihem Ben Sedrine a été désignée pour faire partie de cette instance sachant qu’elle a démolit de nombreuses familles avec l’aide de l’ancien ministre de l’Intérieur Farhat Rajhi», qui n’a toujours pas recouvré ses droits, alors même que le Tribunal administratif lui a donné raison, voilà déjà une année. Pour lui, au sein de l’instance « Vérité et Dignité », cette personne n’a pas sa place car elle est « juge et partie ».
Il n’est pas le seul à le penser. Dans un article du 5 mai dernier, Nizar Bahloul a estimé que la candidature de Sihem Ben Sedrine « viole l’article 21 de cette même loi. Selon le volet III de cet article, les conditions requises pour la candidature sont : la compétence, l'indépendance, la neutralité et l'impartialité. Selon le volet V de ce même article, l’autre condition requise est l’absence d’antécédent de faillite frauduleuse ».
Pour le directeur de Business News, « La compétence de Mme Ben Sedrine est sujette à caution. Elle n’est pas indépendante, puisqu’elle a été une véritable rentière, durant des années, de différentes organisations internationales. Elle n’est pas neutre et n’est pas impartiale et elle l’a prouvé à plusieurs reprises à travers ses différentes sorties avec les LPR ou encore son association avec un des hommes d’affaires qui ont fait leur beurre sous l’ancien et le nouveau régime. Quant à la question de la faillite frauduleuse, il est bon de rappeler que son entreprise « Kalima SARL » est en forte difficulté, qu’elle a cessé de fonctionner concrètement et qu’une partie de son personnel est actuellement aux prud’hommes après l’avoir accusée de différentes charges qui pourraient porter atteinte à l’honneur ».
Déjà en février 2014, Nizar Bahloul a eu le courage de dénoncer la candidature de Sihem Ben Sedrine, dans un article intitulé « Sihem Ben Sedrine, la mercenaire qui veut être juge » (voir lien ci-dessous), où il s’est adressé à Sihem Ben Sedrine dans les termes suivants : « Madame, votre candidature dérange. Oui, elle dérange, elle agace, elle horripile, elle irrite. Votre candidature nous indigne madame ! Mais les raisons sont différentes de celles que vous avancez. Vous nous avez fait croire pendant des années que vous étiez une militante des Droits de l’Homme et une victime de Ben Ali. Et vous avez trompé tout le monde un temps. Vous vous targuez d’être une militante des Droits de l’Homme, mais ce militantisme cesse de l’être dès lors qu’il ne rapporte pas grand chose. On ne vous a pas entendue défendre Jabeur Mejri, on ne vous pas entendue défendre Maher Manaï, on ne vous a pas entendue défendre les centaines de journalistes agressés sous la Troïka. On ne vous a pas entendue vous élever contre les attaques régulières des mercenaires de Moncef Marzouki et d’Ennahdha. On ne vous a pas entendue défendre les journalistes condamnés injustement… »
Outre les subventions perçues d’ONG occidentales, de l’Union européenne et de charitables bienfaiteurs qataris, qui lui ont permis d’acquérir un « pied à terre » à Viennes et un un appartement à Madrid, cette « militante » qui a le don de conjuguer droits de l’homme et droit des affaires, est devenue richissime en Tunisie grâce au parti islamo-mafieux d’Ennahda et à deux affairistes véreux, qui ont fait fortune à l’époque de Ben Ali : Kamel Eltaïef et Nasr Ali Chakroun, l’un des principaux financiers de la campagne électorale de Moncef Marzouki. La place de Sihem Ben Sedrine n'est pas au sein de l'instance "Vérité et Dignité", mais en prison, pour Haute trahison, atteinte à la sécurité de l'Etat, collaboration avec des puissances étrangères, corruption et détournement de fonds.
Nebil Ben Yahmed
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