Cela se passe en direct, sur une chaîne de télévision égyptienne. L’invité est un intellectuel égyptien, historien et spécialiste en droit musulman. Entre ses mains, un livre introduit cette année dans le programme universitaire de l’université islamique d’Al-Azhar. Il lit :
« Puisque nous avons autorisé la consommation de la viande humaine, il est cependant interdit de la faire cuire ou de la griller ». On se demande alors de quelle manière, selon la charia, le bon musulman va-t-il consommer et déguster cette viande si rare !
Notre intellectuel égyptien qui n’en revient pas continue à lire : « S’il a faim, le musulman a pour obligation de tuer un nom musulman, ou un apostat et de le manger… sans en référer à une autorité religieuse ».
Tombé des nues, le journaliste pose la question à son invité : « Et cela, on l’enseigne à nos enfants à l’université Al-Azhar ? ». Et au professeur égyptien de citer la référence exacte de ce manuel d’enseignement tout à fait récent, en indiquant la page de ce texte qui légifère l’anthropophagie islamique.
Toujours en se référant à cette œuvre magistrale, l’invité lit : « Tuer quelqu’un qui est coupable d’adultère, ou un ennemi, ou quelqu’un qui ne fait pas la prière, est un devoir qui se passe d’une autorisation judiciaire ou religieuse ». Mais ce livre éminemment spirituel ne précise pas si, en l’occurrence, il faut le manger ou non !
En Tunisie aussi, nous avons notre islam charrié par la « révolution du jasmin » et le « printemps arabe ». La fornication et même la prostitution sont autorisées en islam, si, les filles, vierges de préférence, s’adonnent aux djihadistes qui mènent le combat en Syrie au non d’Allah ! Pauvre Allah, pauvre prophète, pauvre Islam, pauvres musulmans, pauvres pays aux civilisations pharaonique et carthaginoise millénaires, devenus moins civilisés que certains animaux qui ne se mangent pas entre eux, et que les pygmés qui n'ont jamais été des cannibales …Tunisie-Secret.com
Lilia Ben Rejeb
« Puisque nous avons autorisé la consommation de la viande humaine, il est cependant interdit de la faire cuire ou de la griller ». On se demande alors de quelle manière, selon la charia, le bon musulman va-t-il consommer et déguster cette viande si rare !
Notre intellectuel égyptien qui n’en revient pas continue à lire : « S’il a faim, le musulman a pour obligation de tuer un nom musulman, ou un apostat et de le manger… sans en référer à une autorité religieuse ».
Tombé des nues, le journaliste pose la question à son invité : « Et cela, on l’enseigne à nos enfants à l’université Al-Azhar ? ». Et au professeur égyptien de citer la référence exacte de ce manuel d’enseignement tout à fait récent, en indiquant la page de ce texte qui légifère l’anthropophagie islamique.
Toujours en se référant à cette œuvre magistrale, l’invité lit : « Tuer quelqu’un qui est coupable d’adultère, ou un ennemi, ou quelqu’un qui ne fait pas la prière, est un devoir qui se passe d’une autorisation judiciaire ou religieuse ». Mais ce livre éminemment spirituel ne précise pas si, en l’occurrence, il faut le manger ou non !
En Tunisie aussi, nous avons notre islam charrié par la « révolution du jasmin » et le « printemps arabe ». La fornication et même la prostitution sont autorisées en islam, si, les filles, vierges de préférence, s’adonnent aux djihadistes qui mènent le combat en Syrie au non d’Allah ! Pauvre Allah, pauvre prophète, pauvre Islam, pauvres musulmans, pauvres pays aux civilisations pharaonique et carthaginoise millénaires, devenus moins civilisés que certains animaux qui ne se mangent pas entre eux, et que les pygmés qui n'ont jamais été des cannibales …Tunisie-Secret.com
Lilia Ben Rejeb