Deux tunisiens et un libyens, des criminels qui combattent dans les rangs de la dernière ONG qatarie, l'EIIL
Déjà en juillet 2013, les combattants kurdes avaient saisi des passeports et des cartes d’identité appartenant à des étrangers dans le quartier de l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), après les avoirs chassés de la ville de Sêrékaniyé (Rass al-Ain).
Les Unités de défense du peuple (YPG), armée kurde, ont trouvé le 17 juillet 2013 plusieurs passeports et cartes d’identité appartenant aux étrangers qui combattent en Syrie.
Les combattants kurdes avaient pris le contrôle d'un important poste frontière avec la Turquie et s’étaient emparés du QG des groupes terroristes liés à Al- Qaïda sur la frontière, dans la ville de Sêrékaniyé. Tous les groupes qui menaçaient les habitants et commettaient des crimes de guerre avaient été chassés de la ville.
Un passeport américain figure parmi les documents saisis dans un bâtiment utilisé comme quartier général par l’EIIL et Bilad al-Cham, ainsi que le Front al-Nosra, tardivement désigné comme organisation terroriste par les Etats-Unis.
Les noms de trois étrangers d’origine égyptienne, trois turcs, un tunisien et un bahreïnien figurent sur ces documents. Le cachet apposé dans le passeport américain montre que son titulaire est arrivé en Syrie via la Turquie. Les noms de ces terroristes et mercenaires sont les suivants :
-Amir Farouk Ibrahim, résidant en Pennsylvanie, entré en Syrie depuis l’aéroport Atatürk d’Istanbul.
-Farouk Zaki Ibrahim, d’origine égyptienne, né aux Etats-Unis.
-Abdel Rahman Adel Hasan Hamad, un sujet du Bahrain.
-Kamal Ali Riyad Alaeddine, un égyptien venu de Caire, entré en Syrie depuis l’aéroport Atatürk d’Istanbul. Parti également en Arabie Saoudite, au Qatar, en Jordanie, en Irak et en Libye avec le même passeport.
-Ridha Mansouri, un tunisien. Le 25 février 2013, il est entré en Libye, avant de prendre l’avion le même jour pour Istanbul.
D’autres documents montrent les plans des quartiers de groupes liés à Al-Qaïda, dans les villes de Sêrékaniyé, Tal Tamer et Al-Hassaka. Trois autres cartes d’identité appartenant à des citoyens turcs avaient été trouvées un peu plus tôt au cours de la même journée dans le QG d’EIIL. Il s’agissait de Muhammed Emin Dogrucu, Ibrahim Özden et Murat Koçak.
Le soutien de la Turquie et de plusieurs autres pays étrangers aux groupes liés à Al-Qaïda et à l’armée syrienne libre (ASL) n’est plus un secret. L’année dernière, un combattant turc avait été tué et deux ambulances, une turque et une française, avaient été saisies à Sêrékaniyé par l’YPG.
Récemment à Al-Hassaka, une carte d’identité appartenant à un soldat turc a été saisie, tandis qu’à Afrin, trois djihadistes, arrêtés par la police kurde (Assayish), ont avoué le soutien de la Turquie à Al Qaida. Ces trois personnes étaient d’origine tunisienne, et avaient passé la frontière syrienne grâce aux officiers turcs.
Imed D, Tunisie-Secret
Vidéo d'une crapule tunisienne dont la "révolution" bouazzienne a fait un commandant au sein de l'EIIL : https://www.youtube.com/watch?v=ensLBm-sxN8
Les Unités de défense du peuple (YPG), armée kurde, ont trouvé le 17 juillet 2013 plusieurs passeports et cartes d’identité appartenant aux étrangers qui combattent en Syrie.
Les combattants kurdes avaient pris le contrôle d'un important poste frontière avec la Turquie et s’étaient emparés du QG des groupes terroristes liés à Al- Qaïda sur la frontière, dans la ville de Sêrékaniyé. Tous les groupes qui menaçaient les habitants et commettaient des crimes de guerre avaient été chassés de la ville.
Un passeport américain figure parmi les documents saisis dans un bâtiment utilisé comme quartier général par l’EIIL et Bilad al-Cham, ainsi que le Front al-Nosra, tardivement désigné comme organisation terroriste par les Etats-Unis.
Les noms de trois étrangers d’origine égyptienne, trois turcs, un tunisien et un bahreïnien figurent sur ces documents. Le cachet apposé dans le passeport américain montre que son titulaire est arrivé en Syrie via la Turquie. Les noms de ces terroristes et mercenaires sont les suivants :
-Amir Farouk Ibrahim, résidant en Pennsylvanie, entré en Syrie depuis l’aéroport Atatürk d’Istanbul.
-Farouk Zaki Ibrahim, d’origine égyptienne, né aux Etats-Unis.
-Abdel Rahman Adel Hasan Hamad, un sujet du Bahrain.
-Kamal Ali Riyad Alaeddine, un égyptien venu de Caire, entré en Syrie depuis l’aéroport Atatürk d’Istanbul. Parti également en Arabie Saoudite, au Qatar, en Jordanie, en Irak et en Libye avec le même passeport.
-Ridha Mansouri, un tunisien. Le 25 février 2013, il est entré en Libye, avant de prendre l’avion le même jour pour Istanbul.
D’autres documents montrent les plans des quartiers de groupes liés à Al-Qaïda, dans les villes de Sêrékaniyé, Tal Tamer et Al-Hassaka. Trois autres cartes d’identité appartenant à des citoyens turcs avaient été trouvées un peu plus tôt au cours de la même journée dans le QG d’EIIL. Il s’agissait de Muhammed Emin Dogrucu, Ibrahim Özden et Murat Koçak.
Le soutien de la Turquie et de plusieurs autres pays étrangers aux groupes liés à Al-Qaïda et à l’armée syrienne libre (ASL) n’est plus un secret. L’année dernière, un combattant turc avait été tué et deux ambulances, une turque et une française, avaient été saisies à Sêrékaniyé par l’YPG.
Récemment à Al-Hassaka, une carte d’identité appartenant à un soldat turc a été saisie, tandis qu’à Afrin, trois djihadistes, arrêtés par la police kurde (Assayish), ont avoué le soutien de la Turquie à Al Qaida. Ces trois personnes étaient d’origine tunisienne, et avaient passé la frontière syrienne grâce aux officiers turcs.
Imed D, Tunisie-Secret
Vidéo d'une crapule tunisienne dont la "révolution" bouazzienne a fait un commandant au sein de l'EIIL : https://www.youtube.com/watch?v=ensLBm-sxN8
Une crapule égyptienne de nationalité américaine, Farouk Zaki Ibrahim.