Noman Ben Othman, ancien membre d'Al-Qaïda, devenu "analyste" au service du MI6. A l'instar du très respectable Abdelhakim Belhadj !
Cette attaque terroriste, survenue après celle de l'ambassade américaine à Tunis, avait causé la mort de quatre Américains, dont l’ambassadeur Chris Stevens, qui a été violé et lynché par des barbares peu reconnaissants à l’égard de l’administration américaine qui les a débarrassé du colonel Khadafi ! Le choix de la date, le 11 septembre 2012, ainsi que le mode opératoire, indiquaient clairement que les assaillants agissaient sur ordre d’Al-Qaïda et appartenaient à Ansars al-Charia, une filiale de l'organisation mère.
Dans un entretien récemment accordé à la télévision « Libia likoul al-Ahrar » (La Libye pour tous les libres), Noman Ben Othman, ancien chef du Groupe Islamique Combattant Libyen, une ramification d’Al-Qaïda, a déclaré que la liste des terroristes impliqués dans l’attaque du consulat américain à Benghazi est passée de 11 à 30 personnes, dont un Egyptien d’Al-Qaïda actuellement détenu en Egypte, et trois Yéménites membres de la même organisation terroriste opérant au Yémen, qui ont pu quitter la Libye vers Malte, 48h après l’attaque du consulat américain.
Noman Ben Othman, compagnon de route du terroriste "repenti" Abdelhakim Belhadj, a précisé que les deux principaux chefs d’Ansars al-Charia, responsable de cette attaque, s'appellent Mohamed Al-Zahaoui, 45 ans, ancien détenu de la prison d’Abou Selim à Tripoli, et Ahmed Ben Khétala, ancien djihadiste d’Al-Qaïda, tous les deux activement recherchés depuis par les services américains et britanniques. Comme Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, également impliqué dans cette opération terroriste, qui a un passé lourd en Afghanistan, notamment sa participation à l'assassinat du commandant Massoud, et qui a été libéré en 2011 de sa prison tunisienne par Farhat Rajhi, sous la pression de Sihem Ben Sédrine, Radhia Nasraoui, Mokhtar Trifi, Mohamed Abbou et d’autres commerçants des droits de l’homme. De sources dignes de confiance, Seifallah Ben Hassine serait déjà prisonnier des forces spéciales américaines, qui l'auraient arrêté en Libye dès décembre 2013, en même temps que le terroriste Abou Anas Al-Libi .
Il est à noter qu’en 2008, Noman Ben Othman, alors réfugié à Londres, a rompu avec Ben Laden pour se mettre au service des renseignements britanniques, le MI6, à la suite d’une médiation de Rached Ghannouchi. Il travaille depuis comme « analyste » des mouvements islamistes au sein de la fondation Quilliam, une vitrine des services anglais. Selon Maghreb Confidentiel No 957, du 27 janvier 2011, Seif al-Islam Khadafi a offert beaucoup d’argent à Rached Ghannouchi pour entamer des négociations avec les islamistes Libyens réfugiés à Londres et « C’est en partie grâce aux bons offices du patron d’Ennahdha que la Fondation Kadhafi – pilotée par le fils du Guide – a pu conclure, l’été 2008, la reddition du Groupe islamique combattant libyen (Gicl), à la suite d’un accord avec l’islamiste libyen résidant à Londres Noman Ben Othman. L’année suivante, le Gicl avait renié son affiliation à l’organisation Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ».
Lilia Ben Rejeb
Dans un entretien récemment accordé à la télévision « Libia likoul al-Ahrar » (La Libye pour tous les libres), Noman Ben Othman, ancien chef du Groupe Islamique Combattant Libyen, une ramification d’Al-Qaïda, a déclaré que la liste des terroristes impliqués dans l’attaque du consulat américain à Benghazi est passée de 11 à 30 personnes, dont un Egyptien d’Al-Qaïda actuellement détenu en Egypte, et trois Yéménites membres de la même organisation terroriste opérant au Yémen, qui ont pu quitter la Libye vers Malte, 48h après l’attaque du consulat américain.
Noman Ben Othman, compagnon de route du terroriste "repenti" Abdelhakim Belhadj, a précisé que les deux principaux chefs d’Ansars al-Charia, responsable de cette attaque, s'appellent Mohamed Al-Zahaoui, 45 ans, ancien détenu de la prison d’Abou Selim à Tripoli, et Ahmed Ben Khétala, ancien djihadiste d’Al-Qaïda, tous les deux activement recherchés depuis par les services américains et britanniques. Comme Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, également impliqué dans cette opération terroriste, qui a un passé lourd en Afghanistan, notamment sa participation à l'assassinat du commandant Massoud, et qui a été libéré en 2011 de sa prison tunisienne par Farhat Rajhi, sous la pression de Sihem Ben Sédrine, Radhia Nasraoui, Mokhtar Trifi, Mohamed Abbou et d’autres commerçants des droits de l’homme. De sources dignes de confiance, Seifallah Ben Hassine serait déjà prisonnier des forces spéciales américaines, qui l'auraient arrêté en Libye dès décembre 2013, en même temps que le terroriste Abou Anas Al-Libi .
Il est à noter qu’en 2008, Noman Ben Othman, alors réfugié à Londres, a rompu avec Ben Laden pour se mettre au service des renseignements britanniques, le MI6, à la suite d’une médiation de Rached Ghannouchi. Il travaille depuis comme « analyste » des mouvements islamistes au sein de la fondation Quilliam, une vitrine des services anglais. Selon Maghreb Confidentiel No 957, du 27 janvier 2011, Seif al-Islam Khadafi a offert beaucoup d’argent à Rached Ghannouchi pour entamer des négociations avec les islamistes Libyens réfugiés à Londres et « C’est en partie grâce aux bons offices du patron d’Ennahdha que la Fondation Kadhafi – pilotée par le fils du Guide – a pu conclure, l’été 2008, la reddition du Groupe islamique combattant libyen (Gicl), à la suite d’un accord avec l’islamiste libyen résidant à Londres Noman Ben Othman. L’année suivante, le Gicl avait renié son affiliation à l’organisation Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ».
Lilia Ben Rejeb