Pour le père de l’indépendance, Habib Bourguiba, le grand djihad était celui qu’on doit livrer contre le sous développement et l’ignorance. Pour les islamistes et leur idiot utile Moncef Marzouki, le djihad des hommes consiste à aller égorger les syriens, et celui des femmes, à offrir leur corps aux mercenaires de l’OTAN, de l’Arabie Saoudite et du Qatar (voir vidéo). Ainsi, tous les moyens sont bons pour anéantir la Syrie, le pays qui résiste héroïquement depuis deux ans à l’invasion barbare de l’internationale islamo-terroriste, activement soutenue par les « démocraties » occidentales.
L’opinion publique savait déjà que la jeunesse tunisienne, endoctrinée par les wahhabites et les Frères musulmans, était enrôlée dans des réseaux terroristes, entrainée dans le sud tunisien et en Libye, puis envoyée en Syrie. Leur nombre est aujourd’hui estimé à 6500 individus et leur âge est compris entre 18 et 35 ans. Jusqu’au plus haut niveau, le gouvernement provisoire est impliqué dans ce trafic de chaire à canon. Interrogé sur ce scandale qui a ternie l’image de la Tunisie et des Tunisiens dans le monde, Rafik Bouchlakha, alors ministre des Affaires étrangères, a eu l’insolence et le cynisme de déclarer en janvier dernier que « le gouvernement ne peut pas interdire la libre circulation des personnes » !
Ancien membre de la Commission des Observateurs Arabes en Syrie, Ahmed Manaï vient de relancer cette affaire. Dans une récente interview au quotidien La Presse, il a confirmé –si besoin en était- l’implication d’Ennahda dans l’endoctrinement et l’expédition de jeunes désœuvrés vers la Syrie. Selon M.Manaï, tout a commencé par une rencontre à Tripoli, le 11 décembre 2012, qui a réuni le Mufti de l’OTAN Youssef Qaradaoui, l’agent des Services britanniques Rached Ghannouchi, le numéro deux des Frères musulmans en Syrie, le premier ministre du Qatar ainsi que l’ancien lieutenant de Ben Laden, le libyen Abdelhakim Belhadj. C’est lors de cette réunion qu’a été conclu l’accord secret Bourhane Ghalioun/Abdelhakim Belhadj, consistant à armer des mercenaires tunisiens, libyens et égyptiens et à les envoyer combattre en Syrie.
Ces mercenaires volontaires ou manipulés n’y vont pas gratuitement. Grace à un budget consacré par le Qatar et l’Arabie Saoudite, chaque terroriste ou sa famille peut toucher une somme d’argent estimée entre 2000 et 5000 dinars. C’est un grand business dont profitent les agents recruteurs (des salafistes et des membres d’Ennahda) ainsi que des associations locales qui agissent pour le compte d’agences de renseignement occidentales, installées en Tunisie depuis janvier 2011, avec la couverture du gouvernement actuel. Le principal agent recruteur s'appelle Abdelaziz Nejib, un mafiosi qui fume le cigarre et séjourne dans les meilleurs palaces tunsiens depuis février 2011. Selon Youssef Oueslati, ancien rédacteur en chef de l'hebdomadaire tunisien "Erraya", ce mafiosi et membre d'Ennahda touche 4000 dollars pour chaque djihadiste recruté en Tunisie et envoyé en Syrie. Son nom ayant été révélé par certains médias tunisien, ce criminel a été interpellé à l'aéroport de Tunis-Carthage il y a deux mois, mais sur ordre du ministre de l'Intérieur, il a été autorisé d'embarquer dans un avion en destination de la Turquie d'où il est arrivé.
L’ignominie ne s’arrête pas là. Depuis sept mois, ce sont de jeunes filles tunisiennes, vierges de préférence, que l’on expédie en Syrie. Leur mission fixée par des prédicateurs wahhabites : satisfaire les désirs sexuels des terroristes qui combattent le peuple syrien. Il y a même des tunisiens qui sont parti avec leur épouse et leur propre progéniture féminine pour accomplir leur « devoir » de bon musulman.
Il y a deux ans, les Tunisiens se targuaient d’avoir réalisé la révolution de la dignité. Ou sont l’honneur et la dignité des Tunisiens aujourd’hui ?
Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli
L’opinion publique savait déjà que la jeunesse tunisienne, endoctrinée par les wahhabites et les Frères musulmans, était enrôlée dans des réseaux terroristes, entrainée dans le sud tunisien et en Libye, puis envoyée en Syrie. Leur nombre est aujourd’hui estimé à 6500 individus et leur âge est compris entre 18 et 35 ans. Jusqu’au plus haut niveau, le gouvernement provisoire est impliqué dans ce trafic de chaire à canon. Interrogé sur ce scandale qui a ternie l’image de la Tunisie et des Tunisiens dans le monde, Rafik Bouchlakha, alors ministre des Affaires étrangères, a eu l’insolence et le cynisme de déclarer en janvier dernier que « le gouvernement ne peut pas interdire la libre circulation des personnes » !
Ancien membre de la Commission des Observateurs Arabes en Syrie, Ahmed Manaï vient de relancer cette affaire. Dans une récente interview au quotidien La Presse, il a confirmé –si besoin en était- l’implication d’Ennahda dans l’endoctrinement et l’expédition de jeunes désœuvrés vers la Syrie. Selon M.Manaï, tout a commencé par une rencontre à Tripoli, le 11 décembre 2012, qui a réuni le Mufti de l’OTAN Youssef Qaradaoui, l’agent des Services britanniques Rached Ghannouchi, le numéro deux des Frères musulmans en Syrie, le premier ministre du Qatar ainsi que l’ancien lieutenant de Ben Laden, le libyen Abdelhakim Belhadj. C’est lors de cette réunion qu’a été conclu l’accord secret Bourhane Ghalioun/Abdelhakim Belhadj, consistant à armer des mercenaires tunisiens, libyens et égyptiens et à les envoyer combattre en Syrie.
Ces mercenaires volontaires ou manipulés n’y vont pas gratuitement. Grace à un budget consacré par le Qatar et l’Arabie Saoudite, chaque terroriste ou sa famille peut toucher une somme d’argent estimée entre 2000 et 5000 dinars. C’est un grand business dont profitent les agents recruteurs (des salafistes et des membres d’Ennahda) ainsi que des associations locales qui agissent pour le compte d’agences de renseignement occidentales, installées en Tunisie depuis janvier 2011, avec la couverture du gouvernement actuel. Le principal agent recruteur s'appelle Abdelaziz Nejib, un mafiosi qui fume le cigarre et séjourne dans les meilleurs palaces tunsiens depuis février 2011. Selon Youssef Oueslati, ancien rédacteur en chef de l'hebdomadaire tunisien "Erraya", ce mafiosi et membre d'Ennahda touche 4000 dollars pour chaque djihadiste recruté en Tunisie et envoyé en Syrie. Son nom ayant été révélé par certains médias tunisien, ce criminel a été interpellé à l'aéroport de Tunis-Carthage il y a deux mois, mais sur ordre du ministre de l'Intérieur, il a été autorisé d'embarquer dans un avion en destination de la Turquie d'où il est arrivé.
L’ignominie ne s’arrête pas là. Depuis sept mois, ce sont de jeunes filles tunisiennes, vierges de préférence, que l’on expédie en Syrie. Leur mission fixée par des prédicateurs wahhabites : satisfaire les désirs sexuels des terroristes qui combattent le peuple syrien. Il y a même des tunisiens qui sont parti avec leur épouse et leur propre progéniture féminine pour accomplir leur « devoir » de bon musulman.
Il y a deux ans, les Tunisiens se targuaient d’avoir réalisé la révolution de la dignité. Ou sont l’honneur et la dignité des Tunisiens aujourd’hui ?
Tunisie-Secret.com
Karim Zmerli